Si vous êtes du genre à aimer le suspense des jeux d’horreur, ou si vous êtes tout simplement un amateur de zombies, vous serez fort probablement intéressé par le jeu dont je vous parlerai aujourd’hui : Dying Light. Comme vous le verrez, vous aurez besoin de nerfs solides pour vous extirper de la fâcheuse situation dans laquelle vous êtes plongé. Agrippez votre barre à clous et suivez-moi.
Dying Light (PlayStation 4 / Xbox One / PC), titre développé par Techland et publié par Warner Bros. Interactive Entertainment, arrive tout juste sur les tablettes et je peux vous dire que le sang va couler. C’est un jeu tout droit pensé dans la longue lignée de jeux de zombies. Il faut donc aimer le genre. Il y a toutefois quelques éléments qui démarquent ce jeu des autres, et c’est tant mieux, car disons-le, la thématique des zombies commence à avoir été vue de nombreuses fois.
Mécanique
La mécanique du jeu est simple, mais efficace. Les joueurs tentent de survivre dans un univers post-apocalyptique peuplé d’infectés/zombies qui tentent de vous faire constamment la peau. C’est d’autant plus efficace que le tout est construit de manière à pouvoir être joué avec trois autres amis en même temps. Ainsi, vous êtes plongé dans une lutte à morte, mais au moins vous pouvez ne pas être seul pour le faire.
Des graphismes stressants
Au chapitre des graphismes, on est vraiment dans les consoles de nouvelle génération. C’est bien impressionnant, fort détaillé, et les jeux de lumière ne sont pas moins que captivants. Les amateurs d’horreur gore seront aussi gâtés, parce que les animations sont exagérément sanglantes. Je vous invite d’ailleurs à jeter un coup d’œil à la bande-annonce juste en bas de ce paragraphe, histoire de vous donner un aperçu de quoi ça a l’air. Je dois bien avouer que je trouve le tout délicieux, si vous appréciez les scènes sanguinolentes, évidemment.
Un environnement en mutation
C’est toutefois au chapitre de l’environnement que le jeu est plus novateur. On emprunte des éléments connus, comme le mouvement libre entre les édifices, par exemple. C’est intéressant de voir cette façon de faire dans un univers post-apocalyptique, chose qui n’a pas été souvent exploitée. Notons aussi l’importance du temps. Le jour, les zombies sont agressifs, mais beaucoup moins que la nuit. C’est vraiment deux univers, et c’est véritablement stressant. Finalement, notons que c’est un monde ouvert. Encore une fois, c’est une belle innovation à ce chapitre. C’est d’autant plus intéressant quand vous jouez avec des amis ; vous perdre dans la ville peut réellement devenir une question de vie ou de mort.
En conclusion si vous cherchez un jeu qui vous permettra d’avoir des sueurs froides entre amis, c’est définitivement un titre qui vous intéressera. Moi qui commençais à être quelque peu las des jeux de zombies, je dois dire que ce titre a su capter mon intérêt, principalement pour le jeu en ligne qui permet de partager les frissons durant la nuit. Saurez-vous survivre jusqu’au lever de soleil ?